AfriEvolve – Développement des capacités des ONG vertes en Afrique
Les ONG vertes jouent un rôle essentiel dans la défense des intérêts des communautés locales et dans la sauvegarde de leurs moyens de subsistance. Néanmoins, les organisations locales en Afrique sont confrontées à de nombreux défis structurels pour obtenir un financement à long terme, conserver leur expertise et accroître leur influence au-delà de la sphère environnementale au niveau national et régional.
Les six ONG africaines concernées travaillent au point de jonction entre la conservation dans et autour des zones protégées et les besoins en moyens de subsistance des populations locales. Les communautés rurales souffrent de plus en plus des effets du changement climatique, tels que les fortes pluies, les épisodes de gel inattendus, les périodes de sécheresse extrême et l’érosion, qui aggravent les mauvaises récoltes et les mauvaises productions. Cela entraîne à terme la pauvreté et une dépendance accrue des populations à l’égard des ressources naturelles de leur environnement.
Fiche d’information sur le projet
Période: Février 2021 à décembre 2023
Partenaires: Ghana Wildlife Society, NATURAMA, Nature Kenya, Nature Tanzanie, Nature Ouganda, SOS-Forêts
Parrainé par: le ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ) et l’Union pour la conservation de la nature et de la biodiversité (NABU)
Contribue à: AfriEvolve contribue aux ODD suivants:
Conseil consultatif du projet
La tâche principale du conseil consultatif du projet est de fournir des conseils professionnels externes et impartiaux pour améliorer les réalisations et les succès du projet AfriEvolve. Sur une base semestrielle, les représentants de chaque organisation partenaire présentent les principales mises à jour du projet à un groupe d’experts et reçoivent en retour des commentaires avisés. Les membres du conseil consultatif du projet sont des experts travaillant pour BirdLife International, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact climatique (PIK), l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN) et le ministère fédéral allemand de la coopération économique et du développement (BMZ).